Violences urbaines à la Réunion : les Ceméa dénoncent l'état du réseau associatif
Paru dans Périscolaire le lundi 27 février 2012.
Les Ceméa Réunion dénoncent "bien entendu l’atteinte aux biens et aux personnes" à l'occasion des violences urbaines qui secouent l'Ile, mais refusent également "la stigmatisation de notre jeunesse et le tout répressif". Le mouvement d'éducation populaire évoque une jeunesse "belle et généreuse" qui "refuse d’abdiquer, de se résoudre au chômage, à la misère et à la marginalisation sociale". Il évoque aussi "le triste état du système social d’accompagnement des publics en difficultés et du réseau associatif de moins en moins aidé : animateurs souvent non formés, travailleurs sociaux en nombre insuffisant, absence de réelles politiques de jeunesse (...)"
Le texte complet de la réaction des Ceméa Réunion ici.