Enseignement intensif des langues : tirer parti de l'expérience québécoise
Paru dans Scolaire le jeudi 19 avril 2012.
Les premières classes d’immersion française et d’enseignement intensif du français et de l’anglais, langue seconde, sont apparues il y a cinquante ans, et la recherche a alors montré que "la formule intensive semblait plus prometteuse auprès des élèves de la fin du primaire (6e année) et que ces approches donnaient de meilleurs résultats que d’offrir des périodes au 'compte-gouttes' (à raison de 30 ou 40 minutes de cours à la fois)". Depuis, la recherche n'a jamais cessé d'évaluer les diverses formes de l'enseignement des langues, et le ministère en publie une bibliographie exhaustive.
"L'anglais intensif, ce que dit la recherche", à télécharger sur le site du MELS.